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"Plusieurs noms d'assaillants potentiels ont été mentionnés, qui ont fait l'objet d'enquêtes (qui) n'ont pour le moment donné aucun résultat", indique la police dans un communiqué. La police évoque néanmoins une "situation de menace plus élevée" qu'à l'ordinaire et assure avoir renforcé les mesures de sécurité. (Shadia Nasralla; Tangi Salaün pour le service français)BAGDAD (Reuters) - Les troupes irakiennes progressent dans le dernier quartier de Ramadi encore aux mains du groupe Etat islamique (EI), mais leur avancée est ralentie par les engins explosifs disséminés dans la ville, ont déclaré samedi des porte-parole de l'armée. La reprise de cette localité située à une centaine de kilomètres à l'ouest de Bagdad, passée en mai sous le contrôle de l'EI, constituerait l'une des plus importantes victoires pour l'armée irakienne face à l'organisation djihadiste. Au sein des troupes fidèles aux autorités de Bagdad, on se refuse pour l'heure à dire quand pourrait avoir lieu l'assaut final contre les combattants de l'EI, retranchés dans les installations du gouvernement de la province. Au cours de la nuit de vendredi à samedi, les soldats ont progressé dans le quartier de Hoz, qui abrite ces installations, a fait savoir Yahya Rasoul, porte-parole du commandement des opérations conjointes. "Les forces antiterroristes se trouvent dans un rayon de 800 mètres autour du complexe gouvernemental", a-t-il dit. Lacoste Homme Pas Cher
"Les frappes aériennes ont aidé à faire exploser les engins et les pièges laissés dans les maisons, ce qui a facilité notre avancée", a-t-il ajouté. D'après lui, la plupart des civils toujours présents à Ramadi, chef-lieu de la province d'Anbar, ont trouvé refuge dans l'hôpital de la ville, qui ne sera pas pris pour cible par l'armée. "La priorité de cette campagne est d'éviter de faire des victimes parmi les civils et nos soldats, peu importe le temps qu'il faudra", a également déclaré Yahya Rasoul. Mercredi, des hauts gradés avaient déclaré que cette campagne lancée la veille, avec le soutien aérien de la coalition conduite par les Etats-Unis, pourrait durer plusieurs jours encore. "Nos troupes avancent maintenant en direction de leurs cibles mais ils ont été ralentis parce que ces criminels ont tout piégé", a quant à lui affirmé le commandant Sami al Aridhi. Les milices chiites soutenues par l'Iran, qui ont pris une part importante dans d'autres offensives, sont cette fois-ci restées à l'écart pour éviter d'alimenter le ressentiment des habitants de cette région majoritairement sunnite. Selon le gouvernement de Bagdad, le contrôle de la ville sera assuré par une police locale et une force tribale sunnite une fois que l'EI en aura été délogé. Polo Lacoste Pas Cher L'objectif suivant des autorités de Bagdad est la prise de Mossoul, qui priverait l'EI du plus grand centre de population sous sa coupe en Irak et en Syrie et le couperait aussi d'une source importante de fonds, ce qui réduirait son influence.par Warren Strobel, Jonathan Landay et Phil Stewart WASHINGTON (Reuters) - Des documents récupérés par les forces spéciales américaines lors d'un raid mené en Syrie montrent que le groupe djihadiste Etat islamique (EI) a autorisé le prélèvement d'organes, suggérant que l'organisation d'Abou Bakr al Baghdadi alimente le trafic international. Une fatwa datée du 31 janvier 2015 édictée par l'EI indique qu'il est admis de prélever des organes "sur le corps d'un apostat" pour sauver la vie d'un musulman. Cet édit, selon la traduction qui en a été faite par les services fédéraux américains, indique même qu'il n'est pas interdit de retirer des tissus ou des organes sur un captif, même si l'opération conduit à sa mort. L'agence Reuters, qui s'est procurée ce texte, n'est pas en mesure d'en confirmer l'authenticité. Mais des responsables de l'administration américaine ont indiqué qu'il se trouvait parmi des documents découverts par les forces spéciales lors d'un raid mené en mai dernier dans l'est de la Syrie. "La vie et les organes de l'apostat n'ont pas à être respectés et peuvent être impunément retirés", peut-on lire dans ce texte émanant de la "commission des recherches et des fatwas de l'Etat islamique". Pull Lacoste Pas Cher
La fatwa n°68 ne stipule pas explicitement que le trafic d'organes est autorisé. Mais elle apporte des justifications présentées comme religieuses à une pratique dont le gouvernement irakien a accusé le groupe djihadiste. Elle figure parmi une vaste base de données sur laquelle les forces spéciales américaines ont mis la main lors du raid conduit dans la province de Daïr az Zour qui a abouti à la mort du Tunisien Abou Sayyaf, considéré comme l'un des principaux financiers du groupe, et la capture de son épouse. Selon le Pentagone, Abou Sayyaf codirigeait les opérations financières, pétrolières et gazières de l'EI. SEPT TÉRAOCTETS DE DONNÉES Interrogé par Reuters, Brett McGurk, envoyé spécial de Barack Obama auprès de la coalition mise en place par le président américain pour combattre l'Etat islamique, a précisé que les forces américaines avaient alors récupéré sept téraoctets de données stockées sur des disques durs, des clés USB, des CD, des DVD ou des documents imprimés. Ce n'est pas la première fois que l'existence de ce trésor d'informations sur le fonctionnement interne de l'organisation islamiste est portée à la connaissance de l'opinion. En revanche, aucun de ces textes n'avait jusqu'à présent été rendu public hormis des documents liés au trafic d'antiquités.

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