énorme marché au Canada, détrônant au passage un colosse américain détenteur du contrat.Aujourd'hui, le PDG confie sa satisfaction : «J'ai toujours su qu'il fallait entretenir ses racines, puiser dans leur force pour se développer. hermes pas cher
L'atout du Lorrain, c'est sa rigueur, sa capacité de travail, sa volonté, son humanité aussi. En additionnant ces qualités, la municipalité a su rendre la ville dynamique et attractive. Le technopôle est un exemple concret de mondialisation positive.» Sur la lancée du succès inattendu de La Fabrique du crétin (130 000 exemplaires vendus), après A bonne école, Jean-Paul Brighelli revient à la défense de la forteresse assiégée de l'école. En héritier revendiqué des hussards noirs de la République, cet agrégé de lettres, bretteur au tempérament méridional, se plaît à transformer sa plume en sabre pour trancher les têtes calottées. Féru de la geste révolutionnaire, l'incorruptible de la laïcité ne dédaignerait pas jouer les Robespierre de la rue de Grenelle ou, au moins, les petits pères Combes de la Ve finissante. A 53 ans, et après une décennie passée au lycée des Tarterêts à Corbeil-Essonnes, cet ex-maoïste se réclamant toujours de la gauche (il est syndiqué Snes-FSU) pourfend le communautarisme et le «pédagogisme» qui ont ruiné le bel édifice républicain. lacosre pas cher Hier il fustigeait l'usine à «crétins», aujourd'hui il dénonce l'«invasion des barbares», au risque de passer pour réactionnaire. S'appuyant sur son expérience d'enseignant et sur le rapport Odin (L'Ecole face à l'obscurantisme religieux), sa réaction à la progression de l'islam dans les établissements scolaires emprunte ses critiques à la fois à droite et à gauche. L'égalitarisme doctrinal, d'une part, et l'individualisme social, d'autre part, ont fait le lit du fondamentalisme musulman. Le résultat, c'est la fin, en dépit de la loi anti-voile, du modèle républicain d'assimilation par l'école, lequel rejetait tout particularisme, provincial ou religieux.Pour salutaire qu'il soit dans sa dénonciation des lâchetés et des conformismes actuels, ce livre a néanmoins quelque chose de caricatural. La verve laïque de Brighelli le conduit à faire de la foi, de toute foi, le fondement de l'intolérance. Au nom de sa libre-pensée voltairienne et d'un hédonisme pseudo-nietzschéen, l'auteur en arrive à des propos anti-chrétiens dignes d'un Michel Onfray. longchamp pas cher
Ce n'est pa
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